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1 juillet 2009 3 01 /07 /juillet /2009 08:26
   Le podcast est arrivé, ou tout du moins le test.... Réalisé en une journée il reste perfectible (son du micro à monter, quelques enchainements à bosser, l'accent anglais assez lamentable lol et surtout une voix  trop sérieuse) mais la volonté est de créer un podcast à chaque fin de mois. Nous étions le 30 juin, il ne fallait pas chômer !
  Pour le prochain de juillet, vous pouvez vous attendre à de vraies améliorations et à la présence de guests...  Disons que pour ce podcast de juin il faut surtout s'attacher au son qui passe. Voici à  ce sujet la playlist :

1/ Open Organ de Sébastien Schuller (LP Evenfall)
2/ Dory de Grizzly Bear (LP Veckatimest)
3/ Floating feat. Jenni Muldaur de Dirty Elegance (LP Ode to Bartleby)
4/ Swimming in the flood de Passion Pit (LP Manners)
5/ More de Peaches (LP I Feel cream)
6/ Bain du matin de Mondkopf (LP Galaxy of nowhere)
7/ Serpico's Wallett de Krikor and the dead Hillbillies (LP Land of truth)
8/ Ursuline de Malajube (LP Labyrinthes)
9/ Where did all the love go de Kasabian (LP The West Rider Pauper Lunatic Asylum)
10/ I don't wanna go there de Dinosaur Jr (LP Farm)


Bonne écoute à tous et bonnes vacances pour ceux qui le sont en juillet !



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30 juin 2009 2 30 /06 /juin /2009 14:41
    Voilà un cd qui passe depuis un bon moment sur ma platine. L'été est là, le buzz monte sans cesse, voilà qui m'incite à parler de ce premier album de Passion Pit.  Après un EP Chunk of Change de très grande qualité porté par de bons titres électro-pops comme I've got your number et Sleepyhead, le quintet originaire de Boston porté par le chanteur Michael Angelakos sort donc son premier album, produit par Chris Zane (The Walkmen entre autres).
     Première remarque, à part l'excellent Sleepyhead, le groupe n'a repris aucun titre tiré de leur EP. Deuxième remarque, l'album paraît davantage se tourner vers la psyché-pop et délaisse un peu la veine électro à mon plus grand regret. Troisième remarque, l'ensemble sonne très MGMT avec peut-être un peu moins d'inventivité instrumentale. De même que MGMT a "buzzifié" un max l'été 2008, l'été 2009 devrait faire la part belle à nos amis de Boston.
    L'impression générale laissée par ces 11 titres c'est la fraîcheur et la simplicité, pour moi Passion Pit est un groupe estival. La voix assez aigue de Michael Angelakos, la présence très forte des choeurs, le sens de la mélodie pop, une instrumentation quelquefois très originale. Les ingrédients sont ma foi assez simples (ce qui explique peut-être la légère impression de titres assez similaires) mais la recette est sans faille. On chantonnera du Passion Pit cet été, voire même on dansera sur leur son ( je vous confirmerai ou non en les voyant à Rock en Seine).
   Je retiendrai en exemple 5 titres assez révélateurs à mon sens de cet album:
1.Make light et sa pop acidulée
2. Little Secrets, sa palette de sons très riche et la force des choeurs
6. Swimming in the flood, un titre à l'instrumentation très riche que j'adore
9.Sleepyhead, superbe vestige électro tiré de l'EP
11. Seaweed Song, pépite pop qui clot joliment l'album.

Un incontournable de cet été à n'en pas douter.

En cadeau le clip de The Reeling, autre très bon titre qui aurait pu apparaître aussi dans la liste précédente:



8   /   10

Sylphe
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24 juin 2009 3 24 /06 /juin /2009 14:19

The West Rider Pauper Lunatic Asylum est le troisième opus du groupe de rock electro anglais Kasabian. J'ai découvert ce groupe (une fois encore !) sur scène, ils m'avaient impressionnée par leur présence et l'énergie qui se dégageait de chacune de leurs chansons. Par la suite j'ai donc écouté leurs deux premiers albums intitulés Kasabian et Empire respectivement sortis en 2004 et 2006. Je retrouve donc avec plaisir les sonorités de ce groupe de britpop anglais.
  La première chanson de l'album n'est pas représentative de l'album. Underdog est typiquement le genre de single qui passant en boucle à la radio dégoûte rapidement d'un groupe et me fait détester un album. Je passe donc sur ce premier titre qui n'est en rien extraordinaire. En revanche le second titre Where did all the love go est excellent. On retrouve enfin l'originalité de Kasabian : un tempo rythmé, un refrain entêtant et surtout un accompagnement omniprésent : violons et percussions diverses. Et même vers la fin du titre des sonorités orientales qui me rappellent  le trip-hop  de Massive Attack. Pour moi une des très bonnes chansons de l'album.

La piste 3 Swarfiga  démontre (s'il le faut) que les membres de Kasabian sont également d'excellents musiciens et mélodistes. Pas besoin de paroles, ni de voix : les instruments se suffisent à eux-mêmes. Un petit clin d'oeil en parlant de mélodies, si vous tendez l'oreille sur la piste 11 Fire au moment du refrain, on a presque l'impression d'entendre du Boney M ! Je ne dirais pas que c'est une erreur de parcours (après tout qui n'a jamais dansé sur du Boney M !?!) mais c'est assez intéressant de voir que certains sons peuvent être facilement repris et arrangés à n'importe quelle sauce !

On poursuit la découverte de l'album avec le surprenant Thick as Thieves un titre tout en acoustique. Des guitares sèches, la voix du chanteur sur une mélodie quasi romantique, on se croirait presque chez les Beatles. Ils ne sont pas anglais par hasard ! Un titre qui me plaît par sa singularité au sein d'un album plutôt electo dont le symbole pourrait être le titre Vlad the Impaler : un titre digne des plus grands groupes electros du moment.

J'aime également beaucoup West rider silver bullet, qui, par ses sons sophistiqués et un chant quasi incantatoire donne l'impression d'une longue prière chantée au fin fond d'un désert (non je n'ai pas fumé, mais ce genre de chanson s'y prête particulièrement).

Il y en a donc vraiment pour les tous les goûts dans cet album. Kasabian réussit le pari du mélange de pop anglaise, d'electro et de trip-hop. Un groupe qui peut donc regrouper les fans de tous bords... pourquoi pas après tout ? Se cantonner à un seul style est parfois réducteur, et l’album de Kasabian est tout sauf réducteur.



Clairedelune



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15 juin 2009 1 15 /06 /juin /2009 11:43
      En 2005, comme beaucoup d'autres, j'ai succombé corps et âme face à la douceur mélancolique teintée d'électro de Happiness. Un album magnifique porté par des titres sublimes que j'ai fredonnés plus d'une fois, je pense à Weeping Willow, Sleeping Song et Tears coming home entre autres. Album qui avait été confirmé par une prestation live aux Primeurs de Massy.
   Quatre ans plus tard revoilà notre natif des Yvelines qui n'a pas pour autant chômé entre temps. Quelques collaborations cinématographiques, un mariage avec Agnes Montgomery (rubrique people lol) qui a créé la pochette de ce nouvel opus, Evenfall. Une vie partagée entre la France et Philadelphie, les Etats-Unis des Animal Collective, Sufjan Stevens et consorts.
    Première écoute, premières remarques. Toujours cette voix fragile à la Robert Wyatt ou Thom Yorke qui cependant paraît s'affirmer encore plus. L'accompagnement à prédominance électro a quelque peu laissé place à une instrumentation plus riche. Le classique du piano s'accompagne des cordes, des cuivres, on sent une volonté de travailler les arrangements comme un Beirut ou un Sigur Ros.(wouahh je le gâte avec les comparaisons là). Contrairement au premier album, je trouve aussi qu'il n'y a pas véritablement de titres qui s'imposent par rapport aux autres.
    Les écoutes suivantes vont diffuser la puissance poétique et évocatrice de cet album en moi. S'il n'atteint pas la plénitude du précédent, ce second album est néanmoins superbe. Après une introduction tout en douceur et simplicité, la voix s'alliant au seul piano (1.Morning Mist), 2.Open Organ nous offre le premier instant de beauté auditive. Une introduction instrumentale tout en retenue portée par les cordes de Bell Orchestre ( side-project de Richard Parry et Sarah Neufeld d'Arcade Fire) et, après 2 minutes, un rythme assez pop qui s'accélère et un chant qui monte très haut. On notera cette propension à favoriser les montées en puissance à la moitié des titres (4.Awakening).
  Le deuxième instant de plénitude nous est offert par 5.The Border. Accompagnement simple, Thom Yorke réincarné. Impression d'écouter un morceau du Radiohead de la bonne époque. Le petit intermède à base de choeurs 6.New York à peine fini, 7.Battle nous replonge dans la lignée de The Border. Même recette, même succès...
  L'album coule doucement vers le soir, 9.Midnight et 10.High Green Grass nous offrant deux instants de douceur plus nocturne.
  A n'en pas douter Schuller confirme qu'il est un artiste atypique qu'il ne faut pas perdre de vue. Vivement le festival des trois éléphants!



En cadeau le superbe titre Tears coming home en live




8  ,   75 /  10

Sylphe
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13 juin 2009 6 13 /06 /juin /2009 13:30
      Paul Regimbeau, alias Mondkopf, est un jeune toulousain de 21 ans qui, après deux EP remarqués Declaration of principles et Nuits sauvages, sort son premier album Galaxy of nowhere sur le label Asphalt Duchess.  Je ne connaissais pas du tout Mondkopf en toute franchise et ne l'aurais peut-être jamais connu si le magazine Trax ne m'avait fait cadeau de ce cd (oui un petit peu de publicité, c'est France2 qui m'a permis..).
    Après plusieurs écoutes j'ai bien conscience que j'ai en ma possession un joli album d'électronica qui, par son originalité et sa richesse, risque de faire date. Je vous dépeins rapidement la construction de cet album. Après un morceau d'ouverture surprenant mêlant les bruits d'une cour d'enfant à un compte à rebours électronique, 2.Bain du matin frappe un grand coup d'emblée. Un superbe morceau tout en contraste, mélangeant une atmosphère et des sonorités ambient à des beats plus puissants. S'entame alors sur les 3 morceaux suivants une véritable montée en puissance où l'électro pur prend peu à peu le dessus sur l'ambient. 3.La dame en bleu avec ses beats entraînants et son jeu sur les rythmes (goût particulier pour les ralentissements) et surtout mon titre favori 4.Libera me et son son très électro sont deux morceaux magnifiques. 5.Scream of stars offre un son électro plus brut quant à lui.
    Une période plus ambient et plus douce intervient alors. 6.Les voyageurs semble introduire deux titres superbes de douceur: 7.Speaking with the noise, morceau planant avec ses nappes de synthés à la M83 et 8.Music for my room, morceau tout en simplicité et intimité qui s'appuie sur des notes de piano tombant telles des gouttes d'eau.
   La fin de l'album gagne encore en intensité, les morceaux se faisant plus rythmés et entraînants. 9.Valse dans l'ombre, 10.Lambs are dancing et 11.Planetes que j'aime beaucoup paraissent comme une véritable parenthèse de morceaux dansants. Arrive alors le surprenant 12.Ave Maria qui démarre sur quelques notes de piano et qui va monter inlassablement en puissance. A noter qu'il existe une version live de ce morceau qui explose encore plus au final.
13.Outro, morceau en tout point identique au morceau d'ouverture, vient refermer la boucle et nous incite à nous demander si ce que nous venons d'écouter n'était pas tout simplement un rêve...




8. 75    /   10

Sylphe

  
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10 juin 2009 3 10 /06 /juin /2009 20:19
       Après Le Compte en 2004 et Trompe l'oeil en 2006, le groupe québécois de Malajube nous propose son troisième opus intitulé Labyrinthes. Autour de son chanteur Julien Mineau, les canadiens nous démontrent une nouvelle fois que rock francophone n'est pas un oxymore.
       A part quelques titres glanés dans l'album précédent (Montreal -40°C entre autres) je ne connaissais quasiment pas Malajube. Du rock assez facile d'accès aux teintes pop, des paroles en français: à première vue un genre de musique qui a peu de chance de me plaire. Je tente une écoute sans grande ambition et me surprends à fredonner quelques belles mélodies. Plusieurs écoutes plus tard je dois reconnaître que j'aime beaucoup cet album très frais qui offre un univers doux-amer qui me touche. De nombreaux morceaux très apaisés, portés par de superbes refrains comme l'excellent 2.Luna ou 4.Casablanca. Une douceur qui laisse quelques fois place à une montée en puissance plus rock comme dans 8.Dragon de glace.
      Si Malajube restait exclusivement dans cette veine de douceur gentiment rock cet album serait beau mais trop lisse. Or nos amis canadiens s'avèrent capable de créer de superbes titres de rock progressif, à première vue assez bordéliques dans ce que ça a de positif (un bordel à la Broken Social Scene disons). 1.Ursuline dans ce style est un morceau épique et magnifique, le morceau de fin 10.Christobald se défendant plutôt pas mal non plus. Je garderai pour finir 2.Porté disparu, morceau pop-rock à la recette si simple mais qui me trotte dans la tête sans arrêt avec son refrain chantant.
       En tout cas jolie petite parenthèse pop/rock avant de replonger dans l'électro et de vous parler de Mondkopf et Schuller entre autres....

Un petit clip digne de 8 Femmes de Ozon...



8,5    /    10      Vraiment bien fait dans son style je dois reconnaître.


Sylphe
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7 juin 2009 7 07 /06 /juin /2009 18:11
         Nouvelle découverte électronique avec Krikor Kouchian qui sort son premier album alors que depuis plus de 10 ans il fait parler de lui dans la planète électro. Pour cet album, il s'est entouré de quelques guests que je suis dans leurs projets individuels: Nicolas Ker, le chanteur de Poni Hoax, Chloé la chanteuse de Battant et Chloé la djette que l'on ne présente plus.
         Résultat, un disque somptueux qui reflète une superbe somme de travail. Krikor a longuement mûri cet album et nous donne à écouter toutes ses influences. Du trip-hop (9.Everything fades), des morceaux d'électro pure (1.Times) ou qui s'appuient davantage sur les contrastes (2.Serpico's wallet), des morceaux plus electro-rock qui font la part belle au chant (3.God will break it all) ou encore des intermèdes tout en douceur (4. Wanton Boy et 7.Devil in disguise). L'album gagne en puissance avec les écoutes et demande du temps pour être appréhendé dans sa globalité donc n'hésitez pas à l'écouter de nombreuses fois. Je garderai 4 morceaux particulièrement percutants:
1. The times, ouverture électro avec ses beats sombres et la voix toute en tension de Chloé des Battant
2. Serpico's wallet et sa richesse. Un beat de fond très sombre sans cesse illuminé par une palette de sons plus doux.
3. God will break it all. Morceau très dance-floor porté par le chant de Nicolas Ker et des sons mécaniques. A noter que le chanteur de Poni Hoax maîtrise aussi les morceaux plus doux avec 8.Dongs on trial.
5.The Mist, morceau singulier dans sa composition. 2 minutes 30 d'une lente montée en puissance instrumentale, arrêt quasi-total pour laisser pointer la douceur de la voix.






8   /     10

Sylphe


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1 juin 2009 1 01 /06 /juin /2009 20:47
        Un peu de Peaches pour finir ce week-end prolongé. Je ne connaissais Merrill Beth Nisker, alias Peaches, que de nom. Une chanteuse provocatrice baignant dans la sphère électronique. Pour ce 5ème album (et volontairement je ne suis pas allé jeter une oreille auprès des 4 premiers), Peaches s'est entourée de gens légèrement connus, Soulwax ou encore Digitalism. Excusez du peu...
       Résultat, un joli petit album d'électro/pop-rock qui fait preuve d'un bel éclectisme.  Il faudrait analyser toutes les pistes pour donner un ordre d'idée de l'album mais il n'est pas non plus question de gâcher la future écoute. Je présenterai donc en vrac quelques titres que j'aime et qui symbolisent assez bien l'album:
2.Talk to me, morceau produit par Soulwax qui est très rock et qui contraste parfaitement avec les beats assez sombres du morceau d'ouverture 1.Serpentine
3. Lose you et son joli refrain électro/pop assez calme
4.More et sa tension nerveuse. Le chant et l'univers musical me plongent littéralement dans Goldfrapp ( impression qui reviendra avec 7.Trick or treat par exemple)
5.Billionaire, morceau hip-hop avec Shunda K. qui prouve que l'éclectisme n'a pas que du bon...
6.I feel cream, morceau tubesque porté par la qualité du chant
8. Show Stepper et sa tension soulwaxienne
9.Mommy Complex qui nous rappelle le son de Digitalism

    Bref, Peaches a vraiment produit un superbe album d'électro/pop. C'est très frais. Un seul bémol, cette pochette assez horrible qui me rappelle Xéna la guerrière et Conan...




8   /   10


Sylphe

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30 mai 2009 6 30 /05 /mai /2009 10:55
    Grizzly Bear nous avait charmés en 2006 avec un très beau premier album, Yellow House. Le duo issu de Brooklyn, Daniel Rossen et Edward Droste, nous avait donné quelques nouvelles dernièrement par l'intermédiaire du projet solo de Rossen, Department of Eagles. Une jolie petite pépite folk qui était donc peut-être sensée nous annoncer la venue du second opus.
     Veckatimest (nom d'une petite île déserte) arrive et Grizzly Bear compte bien la peupler de tout son univers mélodique. Autant le dire de suite cet album est un véritable chef d'oeuvre qui vient marcher sur les plates-bandes d'Animal Collective. Autant je m'étais montré perplexe face à Merriweather post Pavillion autant je suis pleinement convaincu ici dès les premières écoutes. Un savant mélange de pop/folk très expérimentale et très aérienne.
     Cet album symbolise à lui seul, selon moi, cette musique qui s'appuie essentiellement sur de l'émotion pure et sur laquelle il m'est particulièrement difficile d'écrire. Objectivement, la production est léchée, les mélodies et la palette de sons beaucoup plus novatrices que dans le dernier Animal Collective. Des titres assez différents mais une impression d'homogénéité assez surprenante. Si je devais résumer je dirais que cette musique est, par excellence, créatrice d'une atmosphère musicale affirmée. En quelque sorte une bulle dans laquelle on prend plaisir à se poser.
   Sur ces 12 titres pas un seul pour lequel on pourrait se poser la question: mais pourquoi l'ont-ils gardé? Je distinguerai quelques plages qui ont, pour point commun, de me toucher par leur richesse instrumentale: les deux superbes titres d'ouverture 1.Southern Point et 2. Two Weeks, l'excellent (sûrement mon titre favori) 6. Dory et les très bons 7.Ready, Able et 8.About Face.
   Il me paraît en tout cas urgent pour vous d'aller écouter cet album pour pallier ma difficulté à en parler. Aucun risque de déception en perspective. Bonne fuite intemporelle.




9   /    10

Sylphe
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24 mai 2009 7 24 /05 /mai /2009 21:06
C'est facile mais ça marche à merveille ma foi...




Sylphe
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